Dans le cadre du spectacle « Des chimères dans la tête » de Sylvain Groud, Françoise Pétrovitch et Hervé Plumet programmé au Théâtre 71 à Malakoff, le pôle médiation et éducation artistique a proposé de ressortir des archives les images de l’exposition « Se laisser pousser les animaux, tranquille » (20/06/2006 du 16/07/2006).

Le projet en partenariat avec le Théatre 71 était l’occasion de montrer, en amont du spectacle, le travail de l’artiste sous forme de projection d’images et de proposer aux élèves de s’appropier l’univers de la plasticienne Françoise Pétrovitch à travers un atelier de pratiques artistiques.

En écho au dispositif du spectacle « Des chimères dans la tête » et dessins de Françoise Pétrovitch, le temps de pratique artiste a été consacré à la réalisation de silhouettes hybrides entre le rêve et le corps des enfants. En s'inspirant des Wall drawings, les élèves ont peint un personnage polymorphe : une moitié de corps provenant de leur silhouette et la deuxième moitié d'une chimère de leur rêve.

 

Ce projet d'éducation artistique et culturelle a été conçu dans le cadre du guide EAC mis en place par la Direction des affaires culturelles de la ville de Malakoff.

Diaporama

françoise pétrovitch

Françoise Pétrovitch est née en 1964. Elle vit et travaille à Cachan.
Depuis les années 90, Françoise Pétrovitch façonne une œuvre singulière et forte à travers de nombreux médias : dessin, peinture, sculpture, vidéo, gravure et céramique. Jouant sur les formats et sur une œuvre en constante évolution, Françoise Pétrovitch révèle un monde ambigu, silencieux et souvent inquiétant, se jouant des frontières conventionnelles et outrepassant les catégories temporelles. L’intime et le collectif, le quotidien et l’universel, animaux et êtres humains, enfance et adolescence se mêlent, explorant l’absence, le fragment, la disparition.

Françoise Pétrovitch est représentée par la galerie Sémiose

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